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Vie en milieu urbain : quelles activités en extérieur pour faire le plein d’énergie ?

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Se promener compte parmi les meilleures activités à faire au quotidien ! Permettant d’optimiser le bien-être et enlever tous stress accumulés au travail, une balade programmée à chaque fin de journée ne vous fera que du bien. Il faut cependant l’avouer, marcher peut parfois être source de plusieurs interrogations lorsque l’on réside en milieu urbain : où se rendre ? Qu’en est-il de la pollution ? Est-il possible de totalement se décontracter malgré les bruits incessants de la circulation ?

Sachez qu’il existe plusieurs solutions qui permettent de se ressourcer et de faire le plein d’énergie, même si l’on habite en pleine ville. Si en tant que citadin vous souhaitez vous adonnez à des activités en plein air pour optimiser votre santé, mais hésitez en raison de votre environnement, découvrez les options qui s’offrent à vous !

Sommaire de l'article

Pourquoi les balades sont-elles essentielles même en ville ?

Aujourd’hui, plusieurs citadins font l’impasse sur les promenades au quotidien. Souvent hésitant en raison de la présence d’un fort taux de pollution de l’air, ces habitants ruraux pensent ne pouvoir tirer aucun profit d’une telle activité. Et pourtant, entamer des balades fréquentes octroie des impacts positifs sur la santé, et ce même en environnement pollué !

Plusieurs études ont démontré que 30 minutes de sport 5 fois par semaine (soit 3 heures d’activité hebdomadaire) octroyaient plusieurs avantages santé. Que ce soit pour la taille, le moral, le cœur et la santé en général, adopter la balade en plein air comme une habitude de vie ne vous sera qu’amplement bénéfique. Cette initiative permet également de combattre adéquatement la sédentarité qui est l’une des causes majeures de la mortalité prématurée.

Footing en parcs publics et fontaines à eau

La marche ou le footing au sein des parcs publics sont d’excellentes options d’activités en extérieur pour ceux qui résident en pleine ville. Situé majoritairement à quelques mètres de la circulation, le taux de pollution enregistré au sein des parcs est plus faible par rapport aux avenues. Étant par ailleurs entretenues avec attention, ces zones clôturées sont préservées dans leur état naturel pour offrir aux visiteurs une myriade  d’attraits.

Il est même possible et fréquent de trouver une fontaine à eau raccordée au réseau d’eau potable pour une détente complète. C’est ce contact répété avec la nature (sans quitter la ville) qui offrira à tous les coureurs une énergie accrue, le tout associé à un bien-être général important et une vitalité optimisée ! Seulement, pour éviter au maximum d’inhaler des particules nocives, il sera tout simplement utile d’adapter l’effort pour réduire le risque d’hyperventilation.

En effet, plus on mise sur de l’activité physique intense, plus on sera emmené à absorber des polluants. L’idée sera donc de limiter l’allure de la course pour éviter de tomber en hyperventilation. D’un côté, la météo sera également un parfait allié pour vos séances de footing en extérieur. En effet, la présence de pluie, de neige ou encore de vent permettra de balayer efficacement les particules nocives dans l’air. Ne vous faites donc plus prier pour aller courir le lendemain des jours venteux ou pluvieux, vous risquez de ne pas profiter de l’air propre !

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Je m’appelle Myriam Bertaux, j’ai 39 ans, et j’ai toujours aimé observer la France là où elle ne se montre pas. Pas celle des discours, ni celle des résumés politiques. Celle qui bruisse dans une gare, dans un bistrot d’angle, dans les regards fatigués ou les rires tenaces. C’est cette France-là que j’écris. Je suis urbaniste de terrain, et j’ai travaillé pendant plus de dix ans sur des projets de réhabilitation de quartiers oubliés, des zones pavillonnaires aux friches industrielles. Ce métier m’a appris à lire le réel autrement : à écouter un trottoir, à comprendre une façade, à décoder le vide comme un langage. Mais un jour, j’ai eu besoin d’écrire. Pas des rapports. Pas des bilans. Des récits. J’ai donc fondé Arkcity — un journal d’auteur consacré à la France contemporaine, celle qui se construit, se délite, se cherche, se relève. J’y raconte les invisibles, les presque-rien, les territoires qui ne font pas la une. Je parle de ruralité, de banlieues, de centres-villes effondrés ou renaissants. J’écris sur les gens, les ambiances, les douleurs douces, les actes discrets de résistance quotidienne. Toujours avec le désir de donner une voix à ce qui n’en a pas, ou plus. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi photographe en argentique, exclusivement. Je photographie les angles morts, les lignes droites, les gestes ordinaires. Je ne poste pas tout. Beaucoup de mes clichés restent dans des boîtes. Mais certains nourrissent mes textes — ou l’inverse. 📌 Ce que vous trouverez sur Arkcity : – Des chroniques d’errance urbaine ou rurale, écrites à la première personne – Des portraits de personnes ou de lieux, racontés avec tact et intensité – Des textes entre récit de terrain, analyse sociale et poésie du quotidien – Une approche sensible, documentée, profondément humaine de la France contemporaine – Parfois, des photos argentiques silencieuses, en contrepoint des mots Je ne prétends pas faire de l’info. Je cherche le vrai dans les marges. Je trace des cartes affectives. Je tends l’oreille au pays réel, même quand il chuchote. Arkcity, c’est ma France — à hauteur de cœur et de trottoir.