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Les dispositions face au COVID cette rentrée

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La rentrée scolaire 2020 a pour but principal d’offrir un cadre d’étude sécurisé aux apprenants. En pleine pandémie du COVID, les gouvernements du monde entier prennent des dispositions pour assurer une bonne protection contre le virus. Les enfants sont une couche vulnérable de la société qui doit être mieux protégé devant l’adversité. Des mesures sont donc prises pour leur assurer une année scolaire saine en réduisant au maximum les risques de contamination.

Sommaire de l'article

Le port de masque

Le port obligatoire du masque fait partie des prérogatives de cette rentrée. Cette disposition est en rigueur auprès du corps enseignements et des grands enfants. Ce sont donc les collégiens et les lyciens qui sont confrontés à cette obligation. Les enfants de moins de 12 ans selon l’OMS ne sont pas obligés de porter le masque. En dessous de 5 ans, il est déconseillé de mettre un masque à l’enfant, mais à partir de 11 ans, le port du masque devient nécessaire. Pour la rentrée scolaire 2020, ces recommandations entoure le port de masque dans les lycées, collèges et universités du monde entier. Ces mesures visent à empêcher la propagation du virus en protégeant aux mieux les apprenants.

Le bon respect des gestes barrières

Des mesures d’éloignement sont mises en place dans les écoles et universités. La distance sociale de 1 mètre est observée dans la limite du possible dans tous les établissements. Les apprenants doivent éviter au maximum les regroupements sans cause valable. Selon l’espace disponible, la distanciation sociale doit être respectée autant de fois que possible. Pour éviter au maximum d’avoir un bel attroupement à l’heure des cours, les retards sont moins considérés.  Des dispositions sont prises pour éviter les énormes regroupements entre parents et enfants que l’on retrouve souvent devant les établissements d’enseignements. Les gestes barrières doivent être respectés dans la limite du possible.

La bonne hygiène des mains

Le lavage des mains et l’utilisation de gel hydro alcoolique sont des mesures préventives qui doivent être respectées. Les apprenants ont l’obligation de se laver les mains régulièrement et d’utiliser leurs gels. Ils doivent éviter de se gratter le visage et faire des tours réguliers devant les dispositifs de lavages de mains. Ces dispositifs de lavage des mains sont placés dans toutes les écoles et universités pour une bonne hygiène des mains. Une bonne propreté des mains est une réduction des risques de contamination et donc une protection pour les enfants. Les mesures d’hygiène des mains sont à prendre au sérieux dans tous ses lieux d’apprentissage et de savoir.

La propreté des lieux

Un bon nettoyage doit être effectué sur les lieux. Les salles de classes, bibliothèques, salles de sports, cantines et cours de récréation doivent être nettoyés de fond en comble. Tout doit être récuré, nettoyé, désinfecté du plafond au sol, des classes aux toilettes. Les chefs de tous les établissements d’enseignement doivent veiller à une bonne hygiène de leur espace pour assurer la sécurité de leur apprenant. Au moins une fois par jour, un nettoyage désinfectant des lieux fréquemment utilisés par les apprenants doit être effectué.

Outre ces mesures, les parents et toutes les personnes impliquées dans ce processus ont un grand rôle à jouer. Ils doivent veiller sur leurs enfants et ne pas les envoyer en classes en cas de fièvre  ou en présence d’un des symptômes de la  COVID 19.

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Je m’appelle Myriam Bertaux, j’ai 39 ans, et j’ai toujours aimé observer la France là où elle ne se montre pas. Pas celle des discours, ni celle des résumés politiques. Celle qui bruisse dans une gare, dans un bistrot d’angle, dans les regards fatigués ou les rires tenaces. C’est cette France-là que j’écris. Je suis urbaniste de terrain, et j’ai travaillé pendant plus de dix ans sur des projets de réhabilitation de quartiers oubliés, des zones pavillonnaires aux friches industrielles. Ce métier m’a appris à lire le réel autrement : à écouter un trottoir, à comprendre une façade, à décoder le vide comme un langage. Mais un jour, j’ai eu besoin d’écrire. Pas des rapports. Pas des bilans. Des récits. J’ai donc fondé Arkcity — un journal d’auteur consacré à la France contemporaine, celle qui se construit, se délite, se cherche, se relève. J’y raconte les invisibles, les presque-rien, les territoires qui ne font pas la une. Je parle de ruralité, de banlieues, de centres-villes effondrés ou renaissants. J’écris sur les gens, les ambiances, les douleurs douces, les actes discrets de résistance quotidienne. Toujours avec le désir de donner une voix à ce qui n’en a pas, ou plus. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi photographe en argentique, exclusivement. Je photographie les angles morts, les lignes droites, les gestes ordinaires. Je ne poste pas tout. Beaucoup de mes clichés restent dans des boîtes. Mais certains nourrissent mes textes — ou l’inverse. 📌 Ce que vous trouverez sur Arkcity : – Des chroniques d’errance urbaine ou rurale, écrites à la première personne – Des portraits de personnes ou de lieux, racontés avec tact et intensité – Des textes entre récit de terrain, analyse sociale et poésie du quotidien – Une approche sensible, documentée, profondément humaine de la France contemporaine – Parfois, des photos argentiques silencieuses, en contrepoint des mots Je ne prétends pas faire de l’info. Je cherche le vrai dans les marges. Je trace des cartes affectives. Je tends l’oreille au pays réel, même quand il chuchote. Arkcity, c’est ma France — à hauteur de cœur et de trottoir.