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Pour opter pour la fabrication additive ?

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Nouveau concept de production en 3D, la fabrication additive a connu une croissance notable ces dernières années. C’est une promotion qu’elle doit surtout à ses nombreux atouts. Sa présence est remarquée dans plusieurs secteurs notamment ceux de l’industrie de la santé et de l’aérospatiale. Découvrez alors les principales raisons qui amènent les grandes industries à préférer l’impression 3D au détriment de la fabrication traditionnelle.

Sommaire de l'article

La liberté de design

La liberté de design représente le plus grand atout de la fabrication additive. En effet, c’est une forme d’impression qui vous permet de rompre tous les liens avec les techniques de fabrication classiques. Cela vous donne alors la possibilité de reconstituer toutes vos idées et de les matérialiser facilement. Vous pouvez même accéder aux géométries les plus délicates. Par conséquent, il s’agit d’une alternative qui vous offre l’autonomie et la souplesse nécessaire au développement de vos projets.

Toutefois, le design en termes de fabrication additive nécessite une qualité donnée. En effet, vous devez savoir comment réfléchir additivement. Ainsi, vous pourrez faire une ouverture sur le champ des possibilités en matière de géométries, de formes et sur le plan stratégique.

La réactivité et la vitesse de production

L’impression 3D représente l’une des solutions optimales lorsque vous souhaitez accroitre la vitesse à laquelle vous développez vos produits. Elle vous permet d’obtenir des itérations à la fois plus rapides et efficaces que d’autres méthodes de fabrication. Cet atout est notamment dû au fait qu’elle nécessite exclusivement un seul fichier 3D pour le développement de votre projet. Aussi, avec cette technique de prototypage très réussie, vous avez la possibilité de réaliser des modifications et d’effectuer de nouvelles impressions en cas d’insatisfaction avec les premières pièces.

Cette réactivité et cette souplesse qu’offre la fabrication additive s’avèrent très utiles pour les entreprises, tous secteurs confondus. Par exemple, dans le domaine médical, cette rapidité est convenable pour le développement des pièces nécessaires pour les urgences.

La personnalisation de masse

Contrairement à la fabrication traditionnelle, l’impression 3D ne nécessite pas de moules pour la conception. Grâce à l’installation des outils digitaux optimaux, le client peut effectuer des choix de personnalisation de manière directe dans un fichier 3D et lancer la production. En outre, les diverses modifications réalisées peuvent aboutir à l’impression sans engendrer des couts supplémentaires. Par conséquent, en matière de personnalisation de masse, la fabrication additive représente la technologie la plus économique et la plus efficiente pour le développement des produits.

La diversité des matériaux

Aujourd’hui, plusieurs matériaux ont intégré l’univers de l’impression 3D. Il est désormais possible d’utiliser du plastique, du métal ou même de la résine. Cela a rendu alors plausible la production des pièces complexes pour des secteurs de grandes exigences. La fabrication additive l’emporte donc sur les techniques traditionnelles puisqu’elle offre dorénavant une autre manière d’aborder le prototypage et la production d’objets finis.

Par ailleurs, il faut préciser que la fabrication additive est en perpétuelle évolution. Chaque année, plusieurs matériaux s’ajoutent à la liste existante. Cela permet donc à toutes les industries (tous secteurs confondus) de profiter de cette merveilleuse technologie à sa façon.

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Je m’appelle Myriam Bertaux, j’ai 39 ans, et j’ai toujours aimé observer la France là où elle ne se montre pas. Pas celle des discours, ni celle des résumés politiques. Celle qui bruisse dans une gare, dans un bistrot d’angle, dans les regards fatigués ou les rires tenaces. C’est cette France-là que j’écris. Je suis urbaniste de terrain, et j’ai travaillé pendant plus de dix ans sur des projets de réhabilitation de quartiers oubliés, des zones pavillonnaires aux friches industrielles. Ce métier m’a appris à lire le réel autrement : à écouter un trottoir, à comprendre une façade, à décoder le vide comme un langage. Mais un jour, j’ai eu besoin d’écrire. Pas des rapports. Pas des bilans. Des récits. J’ai donc fondé Arkcity — un journal d’auteur consacré à la France contemporaine, celle qui se construit, se délite, se cherche, se relève. J’y raconte les invisibles, les presque-rien, les territoires qui ne font pas la une. Je parle de ruralité, de banlieues, de centres-villes effondrés ou renaissants. J’écris sur les gens, les ambiances, les douleurs douces, les actes discrets de résistance quotidienne. Toujours avec le désir de donner une voix à ce qui n’en a pas, ou plus. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi photographe en argentique, exclusivement. Je photographie les angles morts, les lignes droites, les gestes ordinaires. Je ne poste pas tout. Beaucoup de mes clichés restent dans des boîtes. Mais certains nourrissent mes textes — ou l’inverse. 📌 Ce que vous trouverez sur Arkcity : – Des chroniques d’errance urbaine ou rurale, écrites à la première personne – Des portraits de personnes ou de lieux, racontés avec tact et intensité – Des textes entre récit de terrain, analyse sociale et poésie du quotidien – Une approche sensible, documentée, profondément humaine de la France contemporaine – Parfois, des photos argentiques silencieuses, en contrepoint des mots Je ne prétends pas faire de l’info. Je cherche le vrai dans les marges. Je trace des cartes affectives. Je tends l’oreille au pays réel, même quand il chuchote. Arkcity, c’est ma France — à hauteur de cœur et de trottoir.