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Coronavirus : un virus plus fort à l’intérieur qu’à l’extérieur.

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Depuis son apparition en février causant une crise sanitaire et une crise économique à l’échelle planétaire, la Covid-19 continue toujours de faire parler de lui chez les chercheurs. Considéré comme l’un des plus dangereux virus, le coronavirus fait l’objet de toutes les recherches concernant son mode de propagation dans le simple but de le stopper à défaut de trouver un remède efficace pour l’éradiquer définitivement.

Sommaire de l'article

La voie aérienne : la voie de contamination accréditée.

Selon les toutes premières recherches qui ont été par la suite confirmées par d’autres recherches plus approfondies, le coronavirus est une maladie dont la voie de contamination principale est la voie aérienne. En effet, le coronavirus se transmet d’un sujet malade à un sujet sain par les nuages de gouttelettes fines voire microscopiques libérées au cours de la respiration qui est phénomène naturel, de l’éternuement qui produit de gouttelettes plus grosses.

En ce qui concerne les plus grosses gouttelettes émises lors d’un éternuement, elles atterrissent sans aucune difficulté sur un visage situé dans un périmètre restreint ou à une distance de deux mètres. Quant aux gouttelettes fines provenant de la respiration, elles ont la capacité de flotter dans l’air durant plusieurs heures pour se poser finalement sur le premier visage sur leur trajet. Elles sont aussi transportées facilement par le système de ventilation en fonctionnement dans une chambre close. Dans le cas, le processus de contamination est encore plus accéléré puisque l’air produit par le système de ventilation emporte plus vite et dirige les gouttelettes vers une ou des cibles présentes dans la pièce. Cependant, il faut aussi que dans une pièce qui soufre d’aération, la contamination est aussi possible parce que qu’en absence d’air pour optimiser leur transport, les gouttelettes s’accumulent pour être finalement inhalées par un sujet innocent.

Le coronavirus ; un virus qui frappe plus fort à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Suite à plusieurs études et expériences, il a été révélé que le virus est plus fort dans une pièce où la distanciation est difficile à respecter que dans un environnement extérieur. En effet, selon les études effectuées par Mike Weed de d’université Cantenbury Christ Church, quasiment, aucun cas de contamination n’a été enregistré dans les circonstances où les gens sont exposés dans un environnement extérieur. Ainsi, les lieux remplis de monde, les marchés, les lieux ouverts d’activités physiques et sportives, les lieux de fête sont des lieux où la contamination est impossible bien que les mesures de distanciation ne soient pas respectées. Cette affirmation sera renforcée par celle d’un groupe de scientifiques qui aussi confirme que l’extérieur est plus sécurisé que l’intérieur.

Le port de masque : le meilleur moyen pour stopper la propagation du virus.

Certes, l’extérieur est plus sûr que l’intérieur selon plusieurs études et expériences. Mais cette assurance ne doit pas nous empêcher de prendre nos précautions pour éviter d’être contaminé. Parmi toutes les mesures préventives pour limiter la propagation du virus, le port de masque est la mesure la plus efficace associée à la distanciation.

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Je m’appelle Myriam Bertaux, j’ai 39 ans, et j’ai toujours aimé observer la France là où elle ne se montre pas. Pas celle des discours, ni celle des résumés politiques. Celle qui bruisse dans une gare, dans un bistrot d’angle, dans les regards fatigués ou les rires tenaces. C’est cette France-là que j’écris. Je suis urbaniste de terrain, et j’ai travaillé pendant plus de dix ans sur des projets de réhabilitation de quartiers oubliés, des zones pavillonnaires aux friches industrielles. Ce métier m’a appris à lire le réel autrement : à écouter un trottoir, à comprendre une façade, à décoder le vide comme un langage. Mais un jour, j’ai eu besoin d’écrire. Pas des rapports. Pas des bilans. Des récits. J’ai donc fondé Arkcity — un journal d’auteur consacré à la France contemporaine, celle qui se construit, se délite, se cherche, se relève. J’y raconte les invisibles, les presque-rien, les territoires qui ne font pas la une. Je parle de ruralité, de banlieues, de centres-villes effondrés ou renaissants. J’écris sur les gens, les ambiances, les douleurs douces, les actes discrets de résistance quotidienne. Toujours avec le désir de donner une voix à ce qui n’en a pas, ou plus. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi photographe en argentique, exclusivement. Je photographie les angles morts, les lignes droites, les gestes ordinaires. Je ne poste pas tout. Beaucoup de mes clichés restent dans des boîtes. Mais certains nourrissent mes textes — ou l’inverse. 📌 Ce que vous trouverez sur Arkcity : – Des chroniques d’errance urbaine ou rurale, écrites à la première personne – Des portraits de personnes ou de lieux, racontés avec tact et intensité – Des textes entre récit de terrain, analyse sociale et poésie du quotidien – Une approche sensible, documentée, profondément humaine de la France contemporaine – Parfois, des photos argentiques silencieuses, en contrepoint des mots Je ne prétends pas faire de l’info. Je cherche le vrai dans les marges. Je trace des cartes affectives. Je tends l’oreille au pays réel, même quand il chuchote. Arkcity, c’est ma France — à hauteur de cœur et de trottoir.