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Entamer une reconversion dans le développement web en 2021 : une bonne idée ?

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Tout quitter pour devenir développeur web ! Plusieurs travailleurs issus de secteurs différents ont décidé de se lancer ce défi complexe en 2020. Cette année encore, le nombre d’individus souhaitant se reconvertir professionnellement semble être en hausse. Le manque d’intérêt pour le poste occupé, et la baisse de motivation semble être les plus grandes raisons d’une telle initiative chez les professionnels. Aujourd’hui, le métier de développeur web compte parmi les plus convoités par ceux qui souhaitent changer d’emploi définitivement. S’agit-il encore d’une bonne option de carrière en 2021 ? On vous en dit plus !

Sommaire de l'article

Recrutement constant

Le domaine de l’informatique compte parmi les secteurs qui recrutent constamment. Selon les chiffres, une augmentation de 15 % du nombre de recrutements par rapport à 2019 a été enregistrée l’année dernière. Passant ainsi à près de 55 000 embauches en 2019 à 66 000 pour 2020, le secteur de l’IT est toujours en quête des meilleurs profils !

Cette progression devrait donc encore perdurer pour 2021 selon les dernières constatations relevées. L’avancée de la technologie au fil des années raison de ce besoin constant. En effet, les entreprises souhaitent avoir des infrastructures numériques toujours efficaces ainsi que des stratégies web pertinentes. Permettant aux enseignes de se distinguer de la concurrence et rester performantes dans leurs domaines respectifs, avoir des techniciens IT chevronnés et détenant des compétences clefs est un atout majeur au sein d’une structure !

Les développeurs web figurent parmi les profils les plus recherchés dans le domaine de l’informatique. Une reconversion professionnelle réussie en développement web est donc tout à fait plausible en 2021 ! Il s’agit ainsi d’une très belle opportunité à saisir si vous êtes passionné par ce métier.

Formations multiples

Devenir développeur web nécessite de se former adéquatement. Trouver l’apprentissage en adéquation à ses attentes et ses besoins sera ainsi essentiel. Pour se faire, les individus en réinsertion professionnelle pourront choisir entre 4 options différentes…

  • Être autodidacte : plusieurs plateformes permettent de se former en développement web sans débourser un sou. Le plus grand inconvénient reste le temps passé à apprendre seul. Que ce soit pour la théorie que pour la pratique, l’apprentissage général des essentiels au bon développeur web peuvent prendre plusieurs années.
  • Formation accélérée : allant de 9 semaines à 12 mois, les formations accélérées pour devenir développeur web permettent d’apprendre rapidement les codes. Les apprenants seront emmenés à entamer plusieurs projets à un rythme effréné afin de tout assimiler dans les meilleurs délais.
  • Alternance : alliant apprentissage en école ou université et pratique en entreprise, la formation par alternance est celle qui est la plus appréciée pour ceux en plein changement de carrière. Cette option permet en effet de s’insérer rapidement sur le marché de l’emploi tout en continuant à apprendre son métier.
  • Études universitaires : Si vous souhaitez avoir un diplôme reconnu par les entreprises, suivre un parcours universitaire sera la meilleure solution d’apprentissage à choisir. L’investissement temporel sera nettement plus important, mais les compétences seront garanties à terme de la formation.

Peu importe le type d’apprentissage privilégié, il est fortement recommandé de se faire accompagner tout au long du parcours de changement de carrière. Practical Programming peut être un bon allié dans cette phase. En effet, il sera primordial de vous munir du maximum d’informations, de conseils et d’astuces pour réussir votre recyclage professionnel.

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Je m’appelle Myriam Bertaux, j’ai 39 ans, et j’ai toujours aimé observer la France là où elle ne se montre pas. Pas celle des discours, ni celle des résumés politiques. Celle qui bruisse dans une gare, dans un bistrot d’angle, dans les regards fatigués ou les rires tenaces. C’est cette France-là que j’écris. Je suis urbaniste de terrain, et j’ai travaillé pendant plus de dix ans sur des projets de réhabilitation de quartiers oubliés, des zones pavillonnaires aux friches industrielles. Ce métier m’a appris à lire le réel autrement : à écouter un trottoir, à comprendre une façade, à décoder le vide comme un langage. Mais un jour, j’ai eu besoin d’écrire. Pas des rapports. Pas des bilans. Des récits. J’ai donc fondé Arkcity — un journal d’auteur consacré à la France contemporaine, celle qui se construit, se délite, se cherche, se relève. J’y raconte les invisibles, les presque-rien, les territoires qui ne font pas la une. Je parle de ruralité, de banlieues, de centres-villes effondrés ou renaissants. J’écris sur les gens, les ambiances, les douleurs douces, les actes discrets de résistance quotidienne. Toujours avec le désir de donner une voix à ce qui n’en a pas, ou plus. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi photographe en argentique, exclusivement. Je photographie les angles morts, les lignes droites, les gestes ordinaires. Je ne poste pas tout. Beaucoup de mes clichés restent dans des boîtes. Mais certains nourrissent mes textes — ou l’inverse. 📌 Ce que vous trouverez sur Arkcity : – Des chroniques d’errance urbaine ou rurale, écrites à la première personne – Des portraits de personnes ou de lieux, racontés avec tact et intensité – Des textes entre récit de terrain, analyse sociale et poésie du quotidien – Une approche sensible, documentée, profondément humaine de la France contemporaine – Parfois, des photos argentiques silencieuses, en contrepoint des mots Je ne prétends pas faire de l’info. Je cherche le vrai dans les marges. Je trace des cartes affectives. Je tends l’oreille au pays réel, même quand il chuchote. Arkcity, c’est ma France — à hauteur de cœur et de trottoir.