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Les films ou série les plus attendus cette fin d’année

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L’année 2020 n’a pas particulièrement été riche pour le cinéma. Si par le passé de nombreux films ou séries sortaient pour tenir en haleine les cinéphiles, cette année, la crise sanitaire mondiale à met un pied sur la pédale de l’industrie de cinéma. Cela ne veut cependant pas dire qu’il n’y en a pas eu, puisque le début d’année a connu quelques nouveautés. Si certaines maisons de production cinématographique ont annulé la sortie de certains films, d’autres respecteront les délais. C’est d’ailleurs pour cette raison que la fin d’année risque d’être mouvementée par des films qui sont attendus impatiemment.

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Falling

Long métrage réalisé par Viggo Mortensen, falling est une comédie dramatique qui parle d’une relation entre un père et son fils. Loin d’être simple, falling parle d’une relation pleine de tumultes entre les deux personnages. Amour, souffrance, falling est un cocktail de sentiments pour qui souhaite s’y plonger. Il sera en salle du 4 au 17 novembre 2020. La bande-annonce est déjà disponible.

Black widow

Pour les incontournables de Marvel, le film Black widow ne peut être manqué sous aucun prétexte. Prévu pour sortie initialement le 29 avril de cette année, le long métrage de Cate Shortland est finalement pour le 28 octobre 2020. Un ouf de soulagement pour tout ce qui n’en pouvait plus d’attendre de voir à l’écran l’héroïne de son vrai nom Scarlet Johansson. Black widow, c’est un plongeon dans la vie de ce membre du groupe des Avengers que vous avez certainement vu plusieurs fois. Une aventure solo qui permet d’en savoir plus sur elle et surtout de la voir botter les fesses des méchants. En attendant la sortie du film, vous pouvez déjà vous délecter de la bande-annonce qui est disponible.

James bond 25, mourir peut attendre

L’année 2020 ne s’achèvera pas sans que vous ne voyiez à l’écran l’un des plus grands espions de tous les temps James bond. Grâce au réalisateur Cary Fukunaga, vous verrez à l’œuvre Daneil Graig dans le rôle de James bond. Intitulé mourir peut attendre, ce long métrage vient s’ajouter à la liste des films de la saga du réalisateur. Prévu initialement pour le 8 avril 2020, c’est finalement le 11 novembre que le film sortira en salle. Pour les amoureux de la saga, il y aura une future espionne, c’est du moins ce que laisse penser la bande-annonce déjà disponible.

Wonder woman 1984

Les maisons de production cinématographique n’ont pas fini de surprendre leurs fans. C’est d’ailleurs une longue liste de super héros qui s’apprêtent à mener des aventures solo. Si du côté de Marvel le film Black widow est évoqué dans les coulisses, chez DC Comics, Wonder woman 1984 l’est tout autant. Ce film réalisé par Patty Jenkins nous amène dans l’univers de Diana Prince (Gal Gadot) et plus précisément dans les années 80. L’héroïne va devoir affronter son passer et surtout de débarrasser des méchants comme Max Lord et Cheetah. Le film sera disponible le 30 septembre en salle.

 

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Je m’appelle Myriam Bertaux, j’ai 39 ans, et j’ai toujours aimé observer la France là où elle ne se montre pas. Pas celle des discours, ni celle des résumés politiques. Celle qui bruisse dans une gare, dans un bistrot d’angle, dans les regards fatigués ou les rires tenaces. C’est cette France-là que j’écris. Je suis urbaniste de terrain, et j’ai travaillé pendant plus de dix ans sur des projets de réhabilitation de quartiers oubliés, des zones pavillonnaires aux friches industrielles. Ce métier m’a appris à lire le réel autrement : à écouter un trottoir, à comprendre une façade, à décoder le vide comme un langage. Mais un jour, j’ai eu besoin d’écrire. Pas des rapports. Pas des bilans. Des récits. J’ai donc fondé Arkcity — un journal d’auteur consacré à la France contemporaine, celle qui se construit, se délite, se cherche, se relève. J’y raconte les invisibles, les presque-rien, les territoires qui ne font pas la une. Je parle de ruralité, de banlieues, de centres-villes effondrés ou renaissants. J’écris sur les gens, les ambiances, les douleurs douces, les actes discrets de résistance quotidienne. Toujours avec le désir de donner une voix à ce qui n’en a pas, ou plus. Ce qui me rend unique ? Je suis aussi photographe en argentique, exclusivement. Je photographie les angles morts, les lignes droites, les gestes ordinaires. Je ne poste pas tout. Beaucoup de mes clichés restent dans des boîtes. Mais certains nourrissent mes textes — ou l’inverse. 📌 Ce que vous trouverez sur Arkcity : – Des chroniques d’errance urbaine ou rurale, écrites à la première personne – Des portraits de personnes ou de lieux, racontés avec tact et intensité – Des textes entre récit de terrain, analyse sociale et poésie du quotidien – Une approche sensible, documentée, profondément humaine de la France contemporaine – Parfois, des photos argentiques silencieuses, en contrepoint des mots Je ne prétends pas faire de l’info. Je cherche le vrai dans les marges. Je trace des cartes affectives. Je tends l’oreille au pays réel, même quand il chuchote. Arkcity, c’est ma France — à hauteur de cœur et de trottoir.